Les standards sont ce qu'ils sont, en effet.
Il apparait pourtant que près de 90% de tarins rouges mâle vivant à l'état sauvage ont le masque en pointe sur l'avant alors que seulement 10% ont le masque arrondi.
On remarque également ce cas de figure chez :
C. magellannica, masque plus ou moins important selon région géographique et sous-espèce
C. notata, masque présentant plusieurs rond sur la poitrine chez la majorité des sujets sauvages
C. yarrellii, calotte bavant sous l'oeil chez le zorro ou porté très court chez le chapinha (se ne sont pas des sous-espèces mais les noms donnés aux différents dessins)
C. barbata et/ou spinus, sujets avec ou sans barbe, certains barbata ont même un masque formé par l'excès de noir entre la calotte et le menton.
C. spinescen, calotte dépassant sous l'oeil ou portée courte selon sous-espèce.
Le phénotype le plus attrayant est certainement celui défini par le standard mais les autres phénotypes ne sont pas forcément des sujets ayant des traces d'hybridations comme on l'entend systématiquement.
On peut parler de manipulation... à partir du moment où il y a sélection selon des critères établis.